Nos recommandations de lectures
Primé par le prestigieux Prix Goncourt en 2013 et merveilleusement adapté au grand écran par Albert Dupontel en 2017, le roman « Au revoir là-haut » de Pierre Lemaitre est une valeur sûre ! Si tu l’as lu, tu dois certainement partager cet avis également !
Les 5 livres que nous te recommandons abordent des thèmes similaires à ceux que Pierre Lemaitre développe dans « Au revoir là-haut », tels que la Première Guerre mondiale, la mémoire de la guerre, la condition des anciens combattants qui ne retrouvent pas leur place dans la société, les conséquences sociales et psychologiques de la guerre, la critique de la société de l’entre-deux-guerres et la résilience face à l’adversité.
Nous espérons que nos recommandations de lectures te plairont !
"Les Bienveillantes" de Jonathan Littell
Prix Goncourt à sa sortie en 2006, le roman « Les bienveillantes » de Jonathan Littell raconte l’histoire d’un trentenaire franco-allemand, à la formation de juriste, qui est un fonctionnaire convaincu de servir son pays, mais qui se retrouve impliqué dans les horreurs de l’administration nazie pendant la Seconde Guerre mondiale.
Perturbé par une relation incestueuse avec sa soeur, tout en s’adonnant par intermittence à des expériences homosexuelles qu’il refoule, il est aussi témoin de l’épouvante du génocide.
Le roman explore les thèmes de la culpabilité, de la responsabilité individuelle dans les atrocités de la guerre et de la capacité de l’humanité à commettre des actes horribles.
"Ce que le jour doit à la nuit" de Yasmina Khadra
Dans « Ce que le jour doit à la nuit », Yasmina Khadra raconte l’histoire de Younes Mahieddine, un jeune Algérien vivant dans un village misérable dans les années 1930. Il est confié à son oncle, un musulman progressiste vivant avec une femme européenne.
Younes découvre la misère, l’analphabétisme et la discrimination sociale dans son village d’origine et se frotte au milieu des colons européens. Il tombe amoureux d’une jeune fille inaccessible et vit les conséquences de la guerre insurrectionnelle qui débute en 1954.
Le livre explore les thèmes de l’identité, de l’appartenance et de l’inégalité entre européens et indigènes.
"A l'ouest rien de nouveau" d'Erich Maria Remarque
« À l’ouest rien de nouveau » est un roman qui a été écrit en 1928 par Erich Maria Remarque. Il décrit le témoignage d’un soldat allemand qui a combattu pendant la Première Guerre mondiale et qui exprime comment les soldats ordinaires se transforment en « hommes-bêtes » lorsqu’ils arrivent dans les zones de combat.
Ce livre, qui est considéré comme pacifiste, réaliste et émouvant, a connu un immense succès dès sa sortie. Il est considéré comme l’un des livres les plus forts pour dénoncer la monstruosité de la guerre.
"La chambre des officiers" de Marc Dugain
Dans « La chambre des officiers », Marc Dugain raconte l’histoire d’Adrien, un ingénieur officier qui est gravement blessé au visage lors d’une reconnaissance sur les bords de la Meuse pendant la Première Guerre mondiale. Il est alors transféré à la chambre des officiers blessés au Val-de-Grâce, où il reste cinq ans, le temps de réfléchir sur son avenir, sur sa relation avec Clémence et sur les amitiés qu’il noue.
Le roman met en avant le thème de l’identité, de la perte de soi et de la solidarité dans un contexte de guerre.
"L’armée des ombres" de Joseph Kessel
« L’Armée des ombres » est un roman écrit par Joseph Kessel en 1943 à Londres. Il est considéré comme le symbole de la Résistance française pendant la Seconde Guerre mondiale. Le roman décrit la lutte de la France contre l’occupation allemande, mettant en avant la désobéissance civique, la rébellion individuelle et la résistance organisée. L’auteur présente la France comme un pays qui a perdu ses lois et ses richesses, mais qui a su maintenir sa liberté grâce à ses résistants.
